FanFic: Barlog le maléfique (pure tradition D&D)

Bon. Comme promis mon premier chapitre de la Fic. Tout d'abor, j'aimerais que els admins créent une partie "fanFics et fanArts" pour que je me goures aps de partie la prochaine fois... merci d'avance^^


Oubliez ce que vous avez appris. Oubliez ce que vous ressentez, et pénétrez dans le monde mystérieux et indescriptible des Royaumes Oubliés...


CHAPITRE 1 : Le départ, Narril, le premier combat.

Barlog ouvrit peut à peu les yeux. La lumière l’éblouit, lui qui est habitué aux ténèbres de la forêt de Shlipak. Il se forca néanmoins à ouvrir les yeux, à les forcer à s’habituer à cette inhabituelle clarté. Un sourd raclement le tira complètement de sa torpeur. Il se redressa promptement, saisit un bâton par terre et une pierre de l’autre main. Celle-ci étant trop lourde, il la lâcha, et poussa un cri de douleur quand elle atterrit sur son pied gauche. Un ricanement à moitié contenu le fit se retourner. Il se retourne donc et aperçoit un elfe tout habillé de vert.
« -Quelle couleur laide » dit-il dédaigneusement. Ce dernier lui répond violement :
« -Si tu n’as que ça à me dire, je te renvoie dans ta forêt, et tu ne progressera plus jamais.
-Que veux-tu dire par ‘je te renverrais’ ?
-Je me nomme Narril, je suis une druidesse au pouvoir puissants, en tout cas assez pour de réduire en miettes en une attaque. J’ai étudié ton cas, et tu me sembles celui qui me faut…
-Celui qui te faut pour quoi ?
-Ne m’interrompt pas. Tu es celui qui me faut pour accomplir la mission qui m’a été ordonnée de faire.
-Quelle est cette mission ?
-Je t’en dirais plus en temps voulu. Es-tu d’accord pour m’accompagner ou pas.
-OK, je te suis Narril. Que dois-je faire pour commencer ?
-Tu vas près de la ville au loin, tu te débrouilles pour rentrer. Je te suivrais, et regarderais si tu es bien celui qu’il me faut. »
C'est sur ces paroles bien mystérieuses que Narril disparut.
Décidé, Barlog prit son bâton et le taille en pointe sur le chemin qui le mène à cette ville, portant le nom saugrenu de « tagazok ».
Arrivé devant les portes de la ville, il s’aperçoit que c’est juste un petit bourg entouré d’une muraille de rondins de bois de 3m50 de haut. Deux gardes étaient devant la porte Est, deux à l’Ouest et 4 au Sud. Il décide donc d’aller à la porte sud pour acquérir plus d’expérience. Il se tint en embuscade dans les hautes herbes. Malheureusement pour eux, ils ne faisaient pas attention à lui, trois jouaient aux cartes et un, à part, le dos appuyé contre la muraille, jetait des cuops d'oeil haineux aux autres. Barlog décida donc de commencer par s’attaquer à celui-là.
Il se glissa subrepticement à ses côtés, utilisant au maximum sa capacité de camouflage. Parvenu à côté, il utilisa ses dons de voleurs pour lui subtiliser sa lame et la lui plante dans le cou. Attirés pas ses gargouillis, les autres gardes arrêtent de jouer et se précipitent sur Barlog, menaçants. Celui-ci récupéra la lance du mort et s’en servit comme d’un bélier. Il empala le premier garde, lui enfonçant la lance jusqu’à la poignée. Il récupéra l’épée à son flanc et chargea sur les deux autres, qui étaient maintenant désemparés, ne s’attendant pas à une riposte aussi fulgurante. Barlog fondit sur eux, trancha la tête du premier et égorgea le second.
Content de son exploit, il commença à essuyer sa lame, quand Narril se matérialisa à ses côtés. Elle dit, récupérant la lame :
« -C’est bien, tu es assez bon, très combatif, bien sadique. Tu es celui qu’il me faut.
-Rends-moi ma lame, Narril. J’en ai besoin !
-Non, entrons dans cette ville, et je te donnerais une arme faite pour toi. »

Fin du premier chapitre

Alors? Vos impressions? L'immersion a été bonne?

Chapitre 2... plus tard^^ à la demande

Ca commence bien, bravo !

-Non, entrons dans cette ville, et je te donnerais une arme faite pour toi. »

CHAPITRE 2 : La ville, le maire, la mage noir, la porte enchantée.

Les deux combattants rentrèrent en ville. Tout de suite, ils se dirigèrent vers le marchand d’armes. Rentrant dans la boutique, Narril conseilla à Barlog de le laisser faire.
« -Bien le bonjour, nobles voyageurs. Bienvenu dans mon humble magasin. Que vous faut-il comme arme ?
-Nous cherchons un bâton enchanté, c’est pour mon ami.
-Quoi ? Tu me prends mon épée pour me donner un bâton ?
-Je t’ai dis de me laisser faire. Cette épée est trop faible pour ce que nous allons faire, et ce n’est pas avec une arme simple que tu pourras faire des sorts élémentaires tant que tu ne seras pas mage de combat. Donc un bâton enchanté pour mon ami.
-Que voulez vous ? J’en ai du niveau 1 au niveau 7 pour l’instant, mais je recevrais ma livraison dans 2 semaines. Je peux vous commander autre chose ?
-Non, se sera inutile. Mon ami n’est pas encore assez fort pour porter autre chose que le bâton enchanté niveau 3.
-Ça vous fera 250 p.o. S’approchant du comptoir, Narril dégaina sa hache et dit :
-Et des haches, vous en avez ?
-Oui, je possède toutes les armes. Pourquoi, vous en voulez ?
-Non, juste un renseignement. Elle trancha la tête du marchand avec sa hache.
-Cool, on peut se servir maintenant !
-C’est fait pour ! Voici ton arme, et je rajouterais un sort de ‘boule de feu mineure’. Et maintenant que j’y pense, c’est vrai que t’es trop faible est très lent ! Voici pour toi. Narril lui tendit une paire de gants de force naturelle, et une paire de bottes d’halfelins
« -Les gants te rajoutent +5 en force, tu passe donc à 19, c’est énorme pour un niveau 1.
-Je peux donc prendre un bâton plus fort ? Et les bottes, ça sert à quoi ?
-La force de l’arme, je l’avais calculée avec les gants de force. Sans eux, tu n’aurais même pas pu prendre le niveau1 enchanté… les bottes sont les mêmes que celles d’Hermès, le dieu grecque des voyageurs.
-Je peux voler alors, cool !
-Maintenant, dirigeons nous vers la maison du maire pour qu’il nous donne la première mission. »
Arrivés devant la maison du maire, en plein village, un garde les arrêta.
« -Que venez-vous faire ?
-Nous voulons parler au maire, pour recevoir de lui une mission.
-Pas question, le maire ne reçoit pas des étrangers. Retournez d’où vous venez.
-Barlog, à toi l’honneur… »
Celui-ci se précipita sur le garde, et le tua d’un coup circulaire en pleine tempe.
« -C’est bien, tu vois, tu lui a infligé un coup critique de 36 points de dégâts. C’est mieux que l’épée non ?
-Bien mieux, entrons. » Arrivé devant le maire, Barlog dit :
« -Qu’avez-vous à nous proposer comme mission ?
-Pour évaluer votre force, essayez d’ouvrir la porte au fond du village »
Allant vers la porte, les deux compagnons entendirent des cris venant de l’entrée du cimetière. Ils se précipitèrent donc au cimetière et tombèrent sur deux gardes carbonisés. Narril invoqua un cerbère et se précipita dedans. Au fond de la 3° allée, ils aperçurent un mage noir commander un groupe de villageois, le tout sortant un corps de terre.
« -J’ai beau être mauvais, je n’aime pas qu’on touche aux morts !
-Entièrement d’accord Barlog. Hey, vous, que faites vous ? »
Le mage se releva et ordonna à ses hommes d’attaquer. Barlog, profitant d’une autre occasion de se faire encore de l’expérience se précipita et tua les simple villageois en deux coups de bâtons. Le mage noir, embêté, récitât deux formules : une pour réanimer le mort, et une autre formant une boule de feu moyenne.
« -Attention, ce n’est pas un mage de pacotille… occupes-toi du mort-vivant, j’attaques le mage »
Se précipitant sur le malheureux défunt, Barlog lui assena un grand coup sur le crâne. Le mort-vivant ricana, et riposta. Poussant un cri de douleur, Barlog recula hors de portée du mort vivant et lança sa boule de feu. Un nuage de poussière se forma, et deux os en sortirent. Barlog poussa un cri de joie, et se prit les os en plaine poitrine. Il suffoqua sous le coup.
« -Le feu ne peut rien contre lui, il a été animé par un mage maîtrisant le feu. Frappes-le aux bras pour qu’il ne puissent plus t’attaquer, puis aux jambes pour qu’ils ne puisse plus bouger »lui criât Narril. C’est ce que fit Barlog, et grâce à l’expérience reçut, passa au niveau 2. Il s’approcha du combat de Narril et faillit prendre une boule de feu en pleine tête.
« -Ne reste pas là et regarde moi faire, observe la technique, c’est une méthode de combat elfe »
Barlog s’écarta donc, mais voyant que Narril était en danger, il déclancha une boule de feu mineure. Elle n’eut aucun effet sur le mage, sauf qu’elle le déconcentra, ce qui ouvrit une faille pour Narril.
Le mage vaincu, les deux compagnons se dirigèrent vers la porte. Celle-ci était en bois massif, et ouvrait sur une montagne.
« Cool, mon premier donjon !
-Du calme, faut d’abord l’ouvrir… je soupçonne le maire de nous cacher quelque chose… Vas-y, fais toi plaisir : cogne. »
Et c’est ce que fit Barlog. Il cogna de toutes ses forces sur la porte, et une poudre magique en tomba.
« -J’en était sûre, elle est enchantée… Il faut la clef pour l’ouvrir, c’est impossible autrement… allons dire deux mots au maire… »



fin du chapitre 2

le chapitre 3 viendra en fin de semaine

Voius n'avez ps l'air d vous passionner pour ma fic mais bon lol
Je mets en ligne le chapitre 3^^




« -J’en était sûre, elle est enchantée… Il faut la clef pour l’ouvrir, c’est impossible autrement… allons dire deux mots au maire… »




CHAPITRE 3 : Le sergent maléfique, l’entrée du donjon de Tagazok.





Les deux guerriers retournèrent donc chez le maire. Lorsqu’ils s’approchèrent de la maison, ils ne virent aucun garde.
« -Etrange… -dit Narril- Pourtant il aurait du renforcer la garde au lieu de n’affecter personne…
-Il a peut-être quelque chose à se reprocher.
-C’est évident! Allons y, et expliquons-nous avec cet homme… »
Ils entrèrent donc, près à en découdre avec un éventuel agresseur, un assassin à la solde du maire ou tout autre hypothèse bien plus dangereuse. Arrivés devant le maire, ils lui dirent :
« -Pourquoi nous avoir envoyer là-bas, sachant très bien qu’on ne pouvait l’ouvrir sans la clef ?
-Et bien, pour avoir le temps d’appeler mes gardes ! »
En effet, un ‘troupeau de gardes’ apparut. C'est-à-dire 25 gardes plus ou moins organisés, 3 chefs de groupe, un sergent et un commandant. Ceux-ci, menaçants, sabre au clair, s’approchèrent dangereusement des deux hommes. Barlog, plus vif que l’éclair, se précipita derrière le bureau et attrapa le maire, appliquant son bâton sur sa gorge.
« -C’est pas
avec un bâton que tu vas les effrayer… »
Barlog enleva le bâton et fit apparaître une boule de feu. Celle-ci brûlât les trois quarts du bureau. Il remit le bâton encore chaud sur le cou du maire et dit :
« -Si vous avancez, je le crame. Pas de chance, moi je ne crains pas le feu…
-Bien joué Barlog !
-Que voulez vous? –demanda le sergent- qu’exigez-vous contre le maire
-Si vous voulez vous battre, allons dehors et réglons nos problèmes
-Alors allons dehors » dit le sergent en ricanant.
Se dirigeant vers l’extérieur, Narril demanda à Barlog ce qu’il avait dans la tête pour provoquer un combat 30 gardes, dont 5 très forts. Barlog lui répondit que, dehors, l’invocation du cerbère serait possible, et que se serait une bonne occasion de le nourrir… Souriant, Narril félicita Barlog pour son ingéniosité. Sur le perron, Narril invoqua donc le cerbère. Les gardes, affolés, n’étaient plus en état de se battre. Narril glissa à Barlog :
« -Tu t’occupe des 15 gardes les plus proches, moi des 10 autres et des 3 chefs. Les suivant viendront après. » Et c’est ce qu’ils firent. Après un combat facile contre 15 gardes tétanisés, et après avoir fait 8 décapitations, 3 cœurs transpercés et 4 égorgés, Barlog essaya son arme: un bon guerrier se doit de combattre avec une arme propre! Se retournant, il s’aperçut que le sergent s’était enfui. S’approchant du commandant, celui-ci ricana, défit son manteau et tous deux purent apercevoir la clé en bronze à son cou. Mais le commandant devint subitement plus sombre, s’approcha d’une flaque d’ombre, disparut et reparut derrière Barlog et Narril.
« -Barlog, il va vite falloir se mettre en pleine lumière…
-Pourquoi donc ? Tu sais très bien que je déteste la lumière !
-Désolé, mais il va falloir combattre son dédain, car on a affaire à un maître des ombres.
-Un quoi ???
-Un maître des ombres. Ceux-ci ont la faculté de se déplacer de flaque d’ombre en flaque d’ombre, à condition qu’elles ne soient pas éloignées de plus de 6 mètres. Et comme le soleil est en train de disparaître à l’horizon, les ombres s'allongent, et donc avant la nuit nous sommes en grand danger.
-Pourquoi 'avant' la nuit ?
-Car si il n’y a plus de soleil, il n’y a plus d’ombre. Donc, il ne pourra pas disparaître constamment.
-J’ai une idée: alors tu fais ---------------et donc ----------------------et alors ----------------- !
-J’adore ton sens tactique ! A l’attaque alors. »
Barlog s’envola sur un toit pour se mettre hors de portée des matérialisations du maître des ombres. Il prépara une boule de feu mineure, sans toutefois la lancer. Au moment où le maître des ombres se matérialisa derrière Narril, il la lança. Malheureusement, après avoir frappé, le maître des ombres avait à nouveau disparut.
« - Plan ‘B’ Barlog ! Vite !
-De quel plan ‘B’ tu parles ?
-Celui où tu fonces en gros bourrin, et que t’essayes de le tuer en 1 coup !
-Ah, voilà un truc simple à comprendre!! »
S’envolant, Barlog prit de la hauteur, jusqu’à environ 250 pieds de haut. Puis, le bâton vers l’avant, il fonça vers le sol à toute allure, visant la grosse tache d’ombre que formait la maison du maire. Au moment où il allait s’écraser, le commandant se matérialisa et Barlog lui assena un grand coup sur le dessus du crâne. Celui-ci, completement étourdi, mais pas tout à fait mort, disparut à nouveau, mais en manque de repères, réapparut juste devant le cerbère… celui ne fit de lui qu’une bouchée, en recracha la clef de bronze.
« -Pratique ton cerbère… je peux avoir un animal moi aussi ?
-A ton niveau, et comme tu n’as pas encore assez d’empathie avec les animaux ni de dressage, seul un loup peut t’obéir, à moins que tu ne choisisse un rat ou une belette.
-Un loup sera très bien. Je le nomme Thulé »
Un loup se matérialisa à ses pieds. Maintenant en possession de la clef, les deux compères se dirigèrent vers la porte qui, semblait-il, ouvrait sur un donjon. Arrivés devant la porte, Narril introduit la clé dans la serrure et ouvrit naturellement la porte.
Elle s’ouvrit sur une immense salle, avec une petite porte sur leur gauche, une grande arcade droit devant. La porte faisait environ 650 m², une odeur de mort était insufflée par les naseaux de pierre d’un dragon mort.



Voilà la fin du chapitre 3, dites moi si vous coulez la suite^^

Haaaa si moi j'adore ! mais j'attend la suite à chaques fois ^^ je voulais mettre un commentaire de fin quand t'auras fini tous les chapitres mais bon...

(Vive Naheulbeuk pour Tagazok !!! )

mdr, voilà un vrai fan^^

La fin? mais tu peux attendre longtemps! Mon perso D&D (de qui est tiré la fic) est en constate évolution... il y en a pour au moins 40 chapitres!

Ouais... Bon bah t'en fais un livre, tu demandes à une maison d'édition de l'editer et je l'acheterai alors ^^

mdr, je compte le faire "à compte d'auteur" plus tard quand se sera fini^^

Bon, j'ai prévu un truc drôle vers le chapitre 7... Niark!

La saga de notre forum

La suite au prochain épisode

escusez moi pour le retard, voilà la suite, enfin le chap 4. Bon, je me suis dit que cette ville commançait à être lassante. j'y passe encore 2 jours dans le jeu, et je la détruit grace à Narril, mais bon... pas du tout interressant pour ce qui est de l'histoire. Donc j'ai voulu un remplacement. et pus là, lumlière! On est dans quoi? Donjons et Dragons... et ça manquait un peu d donjons, alors ce qui devait juste être un passage devient une véritable forterresse... et pus narril me saoulait un peu, je la retrouverait plus tard...




Elle s’ouvrit sur une immense salle, avec une petite porte sur leur gauche, une grande arcade droit devant. La porte faisait environ 650 m², une odeur de mort était insufflée par les naseaux de pierre d’un dragon mort.



CHAPITRE 4 : Le donjon de tagazok : le vieux garde, les trolls, Kass-Krân.



« -Où allons
Barlog ? A toi de décider…
-Je pense que, avant d’explorer
la caverne par l’arcade, on devrait aller vers cette petite porte, qui doit
donner sur une petite porte. »
Ils se dirigèrent donc vers cette
porte. Elle donnait sur une minuscule pièce, ridicule par rapport au hall
d’entrée. Un vieux garde à moitié mort de faim était allongé sur un lit
rudimentaire. Les deux amis se renseignèrent. Voici ce que leur dit le vieux
garde :
« Il fut un temps, il y a bien
longtemps, ou une tradition existait dans la ville. Chaque semaine, une
nouvelle recrue devait passer 7 jours dans cette caverne pour prouver ses
compétences. Un jour, ce fut mon tour. Confiant, je m’engageasse donc par cette
porte. Une semaine après, j’attendais impatiemment les copains qui viendraient
me récupérer, mais à la fin de la journée, personne n’était venu. Je décidai
donc de frapper le plus fort possible sur la porte, pour alerter les
villageois. J’eut beau frapper de toute mes forces, je ne réussit qu’à me
briser les poignets. Avec les morceaux de bois tombés, je me fabriquasse un
lit. Je me nourrissais de gobelins hasardeux, qui osaient venir jusque là.
Aujourd’hui, vous venez enfin me délivrer. Mais peut-être cela ne fait-il
qu’une semaine après tout… »
Sur ce, le garde voulut sortir, et mourut d’une crise cardiaque. Narril décida de continuer l’exploration du donjon. Ils passèrent donc sous l’arche, et
arrivèrent devant un grand escalier qui descendait vers la droite, et un autre vers la gauche. Les deux s’enfonçaient dans une brume glauque. Ils prirent l’escalier de gauche. Arrivés en bas, ils tombèrent sur une pièce ronde, occupée pas trois trolls en train de dormir. Narril fit signe à Barlog de se taire. Il lui chuchotât
« -Ne dit rien, il ne faudrait
pas les réveiller… voilà ce qu’on va faire : toi t’essaye d’en cramer un.
Attention, il faut en faire une énorme pour les atteindre, et qu’ils ne
puissent pas se réveiller. Moi, je vais essayer de tuer celui qui est tout au
fond. » Et c’est ce qu’ils firent. Barlog lançât une boule de feu, mais il la
ratât : elle était si petite qu’elle n’aurait pas suffie à allumer une
allumette. De son côté, Narril arriva derrière le 3° troll et le tua d’un coup
dans le dos. Barlog, lui, réussit enfin son sort, et brûlât gravement le troll.
Celui-ci, fou de douleur, se réveillât et hurla.
« -Je t’avais dit de le tuer sans qu’il n’hurle !
-Je sais, mais j’ai fait mon sort au plus fort que je le pouvait, et ça n’a pas suffit. Bon, on a pas le choix maintenant, faut foncer dans le tas. »
Barlog s’envolât et, prenant son temps, il lançât une boule de feu aussi grosse que l’autre sur le même troll, et le tuât. Puis il se précipitât sur l’autre et aidât Narril à s’en débarrasser. Ceci fait, ils remontèrent et prirent les autres escaliers. Arrivés en bas de ceux-ci, ils arrivèrent dans un long
couloir avec une fosse au milieu. Barlog la passât en volant, et Narril lançât
un sort de lévitation. Arrivé au milieu de la fosse, un long tentacule surgit
et agrippât Narril à la jambe et commençât à l’entraîner vers les profondeurs. Celle-ci dégaina une épée et tranchât le tentacule. Sur ce, une grille en adamentium tombât du plafond, entre Barlog et Narril.
« -Je crois que tu vas devoir continuer sans moi…
-OK, bon, ben à tout à l’heure. Essaye de passer par un autre chemin. »
Barlog continuât alors seul le couloir. Il arrivât près d’une cage en fer, avec une énorme chose rougeâtre à l’intérieur. Il fut surpris quand la chose lui dit :
« -S’il te plaît noble halfelin, sorts moi de là
-Qui es-tu ?
-Je m’appelle Kass-Krân, je suis un demi orque barbare. Des gobelins me sautèrent dessus pendant mon sommeille et firent prisonnier. Ils comptaient sûrement me manger, mais dès q’un s’approche, je le mange… donc je suis tranquille pour l’instant. Je n’aime aucune créature, mais je serait éternellement reconnaissant à celui qui me sortira de là.
-C’est bizarre, d’habitude les demi roque font des phrases plus courtes… Enfin, je veux bien essayer de te sortir de là si tu me jures fidélité. Je ne veux pas être ton maître, mais juste un compagnon qui sera assurer que tu ne le tue pas pendant son sommeil…
-Je le jure. Alors, peux-tu me sortir de là ?
-Je pense, oui. Je vais chercher la clef de fer qui ouvrira la cage. Attends moi, je serais de retour dans maximum deux jours. »
Et Barlog partit à la recherche de la clef, dans l’espoir de retrouver Narril avant de délivrer Kass-Krân…

Oué oué c'es(t vraimment pas mal!
A cahque fois on a envie de voir la suite.
Continue ;-)

^^ merci malvy

la suite viendra samedi matin normalement

Et Barlog partit à la
recherche de la clef, dans l’espoir de retrouver Narril avant de délivrer
Kass-Krân…



CHAPITRE
5 : Le donjon de tagazok : à la recherche de la clef de fer.



« Bon, je vais
donc suivre ce couloir, et aviser selon
ce qu’il y a au bout… » Se dit Barlog. Il suivit donc le couloir
jusqu’au bout. Arrivé au bout, il se séparait en deux chemins : droite ou
gauche. Barlog prit à droite. 15
mètres plus tard, il se sépara encore en deux chemins.
Barlog reprit celui de droite. Et ainsi de suite pendant une trentaine de fois.
Au moment où il tourna pour la 31° fois à droite, il remarquât une grille. S’en
approchant silencieusement, il s’aperçut qu’il y avait une chose derrière.
Furtivement, il se glissât au plus près de la cage, quand il entendit :


« Barlog, qu’est ce que tu fous
là ? T’as la clef ?


- Que… Quoi ? Aurais-je tourné en
rond ?


- Je crois oui… c’est vrai que
c’est un labyrinthe à partir de là. Voici le chemin qu’il faut suivre : Gauche
trois fois, puis droite, puis gauche, et enfin deux fois droite.


-Merci, j’y…


-Chut, une dizaine de gobelins
arrivent…


-Dix seulement ? Trop facile… »


Sans se retourner, il préparât un
sort de boule de feu. Au moment où Kass-Krân lui dit « ils sont derrière ! »,
il s’envolât, se retournât et lançât la boule de feu sur les gobelins. Avant
même qu’elle n’arrive, il fondit sur eux et frappât de tous côtés jusqu’à
n’entendre plus un cri.


Les
gobelins tués, Barlog suivit les instruction de son ‘ami’, et put ainsi sortir
du labyrinthe. Il arrivât dans une grande pièce rectangulaire, avec trois
portes qui donnaient sur un bloc de petites pièces. Il décidât donc de prendre
celle du milieu. Juste au moment où il entrebâilla la porte, il entendit un
sourd grognement. Il rentra donc promptement et, se recroquevillant contre le
mur, il essayât de passer inaperçu, avec sa faculté de discrétion. Il entendit
« c’est rien, une fausse alerte », prononcé par une voix frêle, mais qui avait
l’habitude de commander. Il reconnut une voix de gobelin vigie. « C’est bien ma
veine ! En fin un peu d’exp. » Sortant son bâton de sous sa cape, il se levât
et l’abattît fortement sur le crâne du gobelin. Les autres, terrorisés car
n’ayant pas l’habitude de prendre une initiative, ne bronchèrent même pas quand
il les égorgeât un à un. Ceci fait, il remarquât une porte sur sa droite, et
une en face. Il décidât de prendre celle en face. Arrivé dans cette pièce, il
ne vit qu’une porte, à gauche. Il la prit et tombât dans une pièce sombre, et
une voix caverneuse lui disant :


« Un pas de plus et t’es mort !


-Qui êtes vous ? » Dit Barlog et
préparant une boule de feu. Identifiant la position de l’ennemie grâce à sa
réponse, il la lançât dans la direction de la voie. La voie ricanante lui fit
savoir qu’elle ne craignait pas le feu. Barlog prit donc son bâton à deux
mains, et s’apprêtât à frapper la créature menaçante, quand il entendit un
bruissement sur sa gauche, indiquant que la créature avait changé de place.


« -Tu ne peux pas me voir, je
suis imprenable. Et comme tu as voulut me tuer, tu ne ressortira pas de cette
pièce vivante.


-C’est ce qu’on va voir ! » Un
peu décontenancé car la voie venait toujours du même endroit, il décidât quand
même de frapper en direction du bruissement. Au moment où il abaissât son arme,
il se prit les pieds dans un coffre en bois et tombât comme une masse.
Cependant, le coup donné n’en fut que plus puissant, et la créature –qui était
un autre gobelin- fut tuée sur le coup. Les ténèbres s’estompèrent et Barlog
vit tout un réseau de fils de fer enchantés, transmettant le son d’un côté à un
autre. Il ouvrit le coffre, et trouvât un petit papier qui disait ces mots :


« Ce que vous chercher, vous
auriez pu déjà le trouver. Ce que vous avez trouvé, vous auriez mieux fait de
ne jamais le découvrir. Bonne chance et à tout de suite au paradis. »


Légèrement
effrayer, Barlog se souvint d’une phrase que disait souvent Narril : « Quoi que
soit ce qui a sous tes yeux, ne te laisse pas avoir par le sens des mots et lit
entre les lignes. Ignore les menaces de mort, sauf si elles viennent de
quelqu’un que tu connaît et qui est plus puissant »


Barlog en déduit donc que ce
qu’il cherchait était la clef de fer, qu’elle aurait déjà peut âtre en sa
possession, et que ce qui l’attend, il devrait s’en méfier. Il retournât donc
dans la pièce aux gobelins et fouillât le chef. En effet, il trouva la clef de
fer. Tout à coup, le chef se réanimât, es yeux injectés de sang, la bave aux
lèvres. Sans se laisser effrayer, il donnât un grand coup de bâton dans la tête
du gobelin, ce qui le tuât définitivement. Barlog courût vite retrouver
Kass-Krân et le délivra. Il décida, après avoir pactiser avec lui, de continuer
l’exploration des pièces.


Ils
rentrèrent dans la pièce qui suivait celle du coffre, et se retrouvât dans le
couloir. Il en conclu donc logiquement que toutes les pièces avaient été
visitées. Il vit une cage électrostatique sur sa gauche, et aperçût le cerbère
à l’intérieur. Thulé, qui avait sympathisé avec lui, se précipita à l’intérieur
de la cage, put rentrer, mais se fit électrocuter quand il voulut ressortir.


« -Tiens, lui aussi c’est fait
avoir ?


-Qui est cette femme Barlog ? Je
peux la tuer ?


-Je te le déconseille, il s’agit
de Narril, une puissante druidesse qui m’a ‘embauché’


-Cool, tu t’es fait un nouvel ami
?


-Ouais, et pas des moindre ! Je
te présente Kass-Krân, demi orque barbare. Mais je vois que tu es montée de
deux niveaux !


-Et toi ? Aucun ? Bon, finit les
tergiversations et continuons. J’ai remarquée une pièce dans laquelle vous
pourriez monter d’au moins un niveau…


-C’est quoi ? C’est quoi ?


-Un djinn de lave… »

-Et toi ? Aucun ?
Bon, finit les tergiversations et continuons. J’ai remarquée une pièce dans
laquelle vous pourriez monter d’au moins un niveau…


-C’est quoi ? C’est
quoi ?


-Un djinn de lave… »






CHAPITRE
6 : Le donjon de Tagazok : le djinn de lave, les fées, une mort
honteuse.





« -Un
djinn de lave ?? Mais est- ce que j’ai le niveau pour le battre ?


-Pour le battre, sûrement pas.
Mais tu peux au moins le toucher… Et puisque tu auras participé au combat, si
tu n’es pas mort, tu gagneras de l’expérience.


-Alors les nains… on y va ou pas
le détruire, ce djinn ?


-Allons-y, c’est la seconde à
droite… »


Se dirigeant vers cette porte,
les trois amis entendirent un grand hurlement qui venait de la cage.


« -Hé ! On essaye de
tuer nos animaux !


-Ne t’inquiètes pas, ce sont soit
les gobelins qui se sont fait mangés, soit une fausse alerte visant à nous
détourner du djinn. Continuons. »


En
rentrant dans la salle, rien ne laissait penser que celle-ci abritait un djinn
de lave. Pourtant, Narril semblait préparer un sort car ses mains devinrent
bleutées. Tout à coup, la température se réchauffât d’un coup, et tout devint
lave, sauf un chemin qui retournait à la porte. Une créature humanoïde de six
mètres de haut émergeât de la lave et dit d’une voix menaçante :


« Sortez de cette pièce, ou
vous le regretterez. Si vous faites mine de sortir, je ne vous attaquerais pas.
Sortez…vite ! » Sur ce, Narril nous interdit de sortir et de la
protéger, tant que son sort ne serait pas prêt. Voyant que nous n’avions nulle
intention de partir, la créature nous attaquât. Sortant son bâton, Barlog se
préparât à donner l’assaut quand il se rappelât que le sol n’était que lave.
Arrêtant Kass-Krân qui voulait cogner la créature à coup de poings, il lui dit
de faire rempare de son corps pour protéger Narril tandis que lui aspirait les
sorts du djinn avec son bâton. Lorsque le djinn se rapprochait trop, Barlog
faisait de grands moulinets avec son bâton pour l’empêcher d’avancer. Au bout
de dix minutes de ce combat fatiguant, Narril lançât son sort. C’était un sort
de pics de glace majeur. Une centaine de pics de glace épais comme un poing à
la base, et plus fin qu’une aiguille au bout furent projetés sur le djinn.
Celui-ci, ne pouvant pas supporter cette fraîcheur, fut transformé en pierre.
Victorieux, les trois amis découvrirent avec surprise que Kass-Krân et Barlog
avaient gagnés un niveau, et qu’ils n’étaient pas loin du suivant.


« -Au fait, quel était ce
bruit qu’on a entendu tout à l’heure ?


-En fait, ce sont des golems.
C'est-à-dire de grandes créatures rattachées à un métal ou à une roche. Ceux-là
sont des golems composite. C'est-à-dire qu’ils ne sont pas très puissants, mais
que leurs coups touchent tout le temps… mais de toute façon, j’ai une autre
pièce à vous montrer avant d’aller les combattre.


-Alors, ne traînes pas et
dit-nous où elle est ! »


Se
dirigeant vers un escalier, Narril leur expliquât le caractère un peu spécial
de la pièce :


« Cette pièce ne vous
donnera aucune expérience. Elle est le refuge de fées, que l’on peut s’en
servir pour regagner des PV (80 par utilisation) » Se dirigeant vers les
la salle des fées, Les trois guerriers vidèrent leur réserve de potion, pour
garder des flacons vides destinés à l’usage de fées. En rentrant dans la pièce,
une chasse à la fée commençât. En effet,
celles-ci ne voulaient pas être enfermées dans des flacons jusqu’à servir. Au
total, Narril pris 4 fées, Kass-Krân 7 et Barlog n’en attrapât pas moins que
12 ! Prés pour le combat, ils ressortirent de la pièce pour aller
affronter les golems. Entrant dans la pièce, ils virent un grand promontoire en
plain milieu de la pièce. Narril décidât de passer à gauche, Kass-Krân passât à
droite en Barlog se perchât sur le promontoire pour enchaîner les sorts
facilement. Le combat commençât :


Narril pris son bâton enchanté en
or dans la main droite, et préparât un sort d’éclair majeur de la main droite.
Les golems les aperçurent. Le premier, se dirigeant vers Narril, préparât son
poing pour la tuer en un coup. Celle-ci fit un mouvement tournoyant avec son
bâton et lançât le sort. Le golem fut à moitié électrocuté, et à moitié tout
enfoncé. Narril l’enjambât et se dirigeât vers les 4 autres. Kass-Krân, de son
côté, fonçât vers un autre golem qui l’attendait de pied ferme. Au moment de la
collision, Kass-Krân sautât pour passer au dessus du golem et le cognât de
toutes ses forces, lui enfonçant la tête dans les épaules. Atterrissant, lui
aussi se dirigeât vers les autres golems. Les deux amis se retrouvèrent au
milieu des golems, et cognèrent dans tout les sens, pour tuer les golems autant
que pour sauver leur vie. Mais un des golems parvint à leur échapper, et,
voyant d’où venaient les sorts que lui et ses amis recevaient depuis le début
du combat, se dirigeât vers ledit promontoire. Arrivé au pied de celui-ci, il sautât
pour atteindre Barlog. Ce dernier se baissât pour éviter le poing vengeur.
Préparant un sort puissant, Barlog ne vit pas le deuxième poing du golem qui
visait sa tempe. Tout ce qu’il entendit fut :


« Barlog !
Attention ! CRRRAAAAC !!! » Il tombât du promontoire et se fracassât la tête sur le
sol de la pièce. Se précipitant à son secours, Kass-Krân et Narril tuèrent le
golem et contournèrent le promontoire pour accéder à l’endroit où était tombé
Barlog.


Ils arrivèrent pour constater que
Barlog était mort, la tête fendue par le coup de golem, et les os brisés dans
sa chute…






bon bah là, j'ai bien envie de faire la sadique...
en tout cas, là suite n'est pas encore écrite, je sais pas comment je vais faire encore (enfin, en version adaptée de fic...)
dites mio ce que vous attendez, ce que vous en pensez, ...

Vraiment bien.

Sinon, c'est peut-être un peu basique mais ressuciter Barlog sous une forme un peu différente style serviteur de la mort ou quelque chose de plus parlant (je me doute que tu auras de bonnes idées) ...

... j'y avait jamais pensé.
et si je me mets serviteur de la mort, ça change tout le reste... et je compte bien rester assez fidèle au développement de min perso (actuellement 15> mage de combat/5>assssin pour els connaisseurs)

Ok mais, de toute façon, pour le moment, t'es mort alors va falloir trouver quelque chose ! *en ricanant*

Non, sans déconner, je suis sûr que tu nous ponderas quelque chose de bien, jsuqu'à maintenant c'est terrible alors, perso, j'ai aucun doute sur la suite

merci bien^^
le début du chap 7 est écrit, je le poste la semaine prochaine... j'ai déjà la trame et une partie du scénario

Voilà le chapitre 7, réponse à la question que vous vous posiez tous: comment Barlog va-t-il ressusciter? réponse après la pub^^
nan, je déconne, voilà la chapitre:




Ils arrivèrent pour constater que Barlog était mort, la tête fendue par le coup de golem, et les os brisés dans sa chute…


CHAPITRE 7 : Le donjon de Tagazok : résurrection, libération.


« -Barlog !
Réponds ! C’est moi Kass-Krân ! Barlog ! Ne meurt pas !
-C’est trop tard Kass-Krân,
Barlog est mort.
-Mais que va-t-on faire sans
lui ??
-Qui t’as dit que l’on
continuerait sans lui ?
-Ah non ! Je refuse de me
trimbaler un cadavre sur le dos !
-C’est pas exactement ce que j’ai
dit. Allons dans la pièce des fées, je pense qu’elles auront un pouvoir pour le
régénérer… » De retour dans cette pièce, Narril eut une longue conversation
avec la fée suprême, et il en ressortit le visage assez sombre.
« -Il y a bien un moyen,
mais c’est horrible : il faut que 3 fées s’immolent pour donner leur
énergie au corps du défunt. Es-tu près à le faire ?
-On peux toujours essayer…
dis-lui ma réponse. »
Le corps de Barlog fut déposé au
milieu de la pièce, toutes les fées disparurent, sauf la fée suprême et trois
petites. Ces dernières ce placèrent autour du corps, la fée suprême récitât une
formule d’une voix sifflante et gorgée de larmes. Tout à coup, les trois fées
prirent feu. Cinq secondes plus tard, tout était fini, et Barlog s’éveillât
lentement, comme d’un long sommeil.
« -Aïe, ma tête… ça frappe
fort un golem… mais où on est là ?
-Barlog, espèce de taré ! Tu
n’as pas vu qu’il avait deux bras, ce golem ? Tu ne pouvais pas t’envoler,
quitte à avoir un tout petit peu plus de difficulté pour lancer tes sorts… à
cause de toi, la fée suprême ne me respecte plus maintenant.
-Mais qu’est ce que j’ai fait
là ?
-Tu t’es fait tuer espèce de
crétin, et pour te réanimer, trois fées on dues mourir. T’es fier de toi au
moins ?
-nan, pas du tout… tu présenteras
mes respects et mes remerciements à cette fée… mais j’ai un truc qui devrais
t’intéresser : je sais où trouver la clef qui ouvre la cage de nos
bêtes !
-Comment l’as-tu su ?
-Etant mort, je me suis retrouvé
devant le dieu des halfelins. Celui-ci me disant que je ne restais pas, que vous
me sauviez, me donnât un tuyau pour avancer dans ma quête.
-Mais tu sembles plus agile…
-Ah oui, c’est vrai : il m’a
amélioré mes bottes, je peux voler sans y penser. Dès qu’un truc me menace
directement, si c’est par derrière, je m’envole… cool non ?
-Bien, c’est pratique… et où
trouver cette clef ?
-Suivez moi ! »
Contre
toutes attentes, Barlog se dirigeât vers la pièce des golems. Ne voulant pas se
justifier, il forçât juste ses compagnons à le suivre sans un mot. Entré dans
la pièce, il contournât le promontoire.
« -Barlog, on les a tous
tués, il n’y a plus aucune vengeance que tu puisses exercer…
-Laisse-moi faire ! »
Il s’approchât de cadavre du golem qui l’avait tué, transformât sa main en
torche brûlante et frappât le golem au niveau d’un cœur d’humain (chez les
golems, il se trouve à la place de foie). Il en ressortit un objet minuscule en
laiton. Faisant un sort de scan dessus, il fut satisfait du résultat. Se
retournant vers ses deux amis décontenancés, il leur dit :
« -Narril, fait apparaître une
masse de forgeron. Kass-Krân, prends-le et cogne 13 fois comme un malade
dessus. Enfin, Narril, tu congèleras ce morceau plat, puis tu le feras fondre…
-Tu ne crois pas qu’il sera
détruit ?
-Fait ce que je te
dis ! » Exécutant les ordres
de Barlog, Kass-Krân et Narril forgèrent un morceau de laiton minuscule. Barlog
le transformât et acier, puis le modelât pour former une clef bizarre, car
identique des deux côtés de la tige. Allant vers la cage, Barlog demandât à
Kass-Krân de la projeter violement sur la cage. Ne comprenant pas où il voulait
en venir, Kass-Krân exécutât néanmoins ses ordres. Il jetât de toutes ses,
forces Barlog contre la cage. Celui-ci plaçât la clef devant lui, et au moment
de s’écraser contre la cage, celle-ci disparût, au contact avec la clé. Les
deux animaux disparurent, fous de joie. Bon, maintenant qu’on est tous réunis,
allons rendre une petite visite au boss…

Ah je savais que tu t'en sortirai et bien en plus